Aller au contenu principal

Image
img_etudiant

Le poète camerounais Kouam Tawa a passé trois jours au Lycée, intervenant dans cinq classes et au C.D.I., pour parler des poètes et de la poésie, écouter des poèmes, en dire et aider à en écrire.

Les 22, 23 et 24 mai, il a travaillé avec les «  Fustéliens » durant 18 heures au total (dans les classes de Français de N. Gaudré, D. Ndioro-Copitet et A.-M. Bouilhac, et au C.D.I. (merci aux documentalistes pour leur collaboration et leur présence).

En 6C et 5B, il a animé un atelier d’écriture poétique. En 3B, les élèves ont travaillé avec lui sur des poèmes lyriques et engagés.

Les élèves de 1e STG et de 1e ES-L se sont interrogés sur le rôle de la poésie et le travail du poète. Comme ils étudient le recueil de Senghor Chants d’ombre, K. Tawa, partant de textes, a expliqué l’origine historique et culturelle du courant de la négritude, ses valeurs, ses objectifs, son évolution.

Enfin il y a eu deux temps de lecture au C.D.I., ouvert à tous ceux qui voulaient entendre de la poésie et lire des poèmes composés ou choisis, sur les thèmes « je », fin », « frère » et « Afrique ». Certains élèves se sont faits la voix de camarades poètes, d’autres ont lu leurs propres créations ou celles d'autres auteurs: bravo à eux tous ! M. Samé-Ekobo a lu un poème créé par…un logiciel informatique. K. Tawa nous a alors fait découvrir des textes de René Philombe (1930-2001), fondateur de la première association d’écrivains d’Afrique, l’Association des Poètes et Écrivains du Cameroun, ou d’Antoine Logmo Assoumou, mort en 1980 à dix-sept ans, laissant un magnifique recueil, Au bout de mon songe vaste.

Animateurs Pédagogiques
Classes concernées